mardi 15 avril 2025

    Starter Pack : Ethel Arkady !

    En ce moment, je présente mes créations au Festival Fantastique de Bruxelles, ce qui fait que j'ai largement le temps de dessiner. 

    Mais je suis aussi tombé sur les derniers simulacres de Lia générative qui ont littéralement inondé les réseaux. Et bon… Voilà, en attendant d'éventuels amateurs de fantasy bizarroïdes et de romans gore, je me suis amusé avec cette mode pour faire… Disons pour présenter Ethel Arkady d'une autre manière. Sauf que moi, je n'ai pas utilisé un algorithme !

    Parce qu'un jour je me sortirai les doigts du fion pour exprimer tout le bien que je pense de cette technologie… Même si mon avis ne doit pas être un grand mystère si vous me lisez….



    samedi 5 avril 2025

    Les Contes de Yelgor : La Nuit de la Poussière !

    Après quelques temps sans poster, voici que de nouvelles histoires qui sortent enfin des méandres de mon disque dur après quelques mois d’attente.

    J’ai rédigé cette nouvelle dans le cadre d’un Appel à Texte qui s’avéra négatif. Un mal pour un bien, puisque je n’avais pas prévu de me pencher sur l’univers de Yelgor, mais celui-ci constitue un excellent palliatif pour les Aventures d’Ethel Arkady, lesquelles restent exigeantes tant au niveau de la continuité que de la crédibilité… C’est donc avec un certain plaisir que j’explore à nouveau le monde de Yelgor…

    Dans la foulée de cette nouvelle, j’ai conçu deux autres histoires qui s’attacheront aux pas de la jeune Allytah et de Jôkanès laquelle, après avoir perdu son protecteur (v. le récit inaugurant « La Nuit de l’Auberge Sanglante »), retrouve sa condition d'esclave, ce qui ne l’enchante guère. Elle suppliera Allytah de devenir sa disciple, puisque la noctule reste une escrimeuse hors pair malgré son bras manquant.

    J’ai aimé fouiller les interactions de ce duo dissemblable, aussi étrange que touchant. Je compte bien explorer la suite de leurs amitié contrariée dans les deux autres histoires… En attendant la sortie du deuxième volet des Chroniques de Yelgor, voici un moyen agréable de maintenir vivant cet univers que j’affectionne vivant… 

    MakuZoku s'est occupée de l’illustration et que puis-je dire sinon qu’il m’a gâté pour l’occasion avec cette image qui caractérise bien les deux personnages : la solaire Jôkanès occupe une place de choix dans la composition et Allytah, située en arrière-plan, est devenue l’ombre métaphorique de Jôkanès, une possible projection de son avenir... Enfin, soulignons la présence de la troisième star de cette histoire, le fameux sabre vivant de la noctule…

    Je suis très heureux de vous présenter ce dessin ! La couverture sera en noir, blanc et rouge, selon un code que j’ai établi pour les nouvelles, mais j’ai aussi demandé une version couleur à MakuZoku, lequel s’est empressé de satisfaire cette foucade avec maestria. Il en a aussi profité pour réaliser plusieurs versions que je vous propose ici.

    Laquelle préférez-vous ?

    Version Originale
     
    Version "bronzage" !

    J'utiliserais probablement cette version pour la couverture !

    Version "Regard qui tue" d'Allytah !

    dimanche 9 mars 2025

    Publication : Parques Attaques ! : Saison 1

    Après une semaine placée sous les auspices de la souffrance médicale, présenter une publication, ça remonte un peu le moral ! Alors, je ne suis pas (trop) aux commandes de celle-ci, néanmoins comme Tom Larret m’a demandé une préface et je me suis exécuté. J’espère que le résultat ne ressemblera pas trop à un dérapage non contrôlé de ma part, car je n’ai jamais pratiqué ce type de figure acrobatique, du moins jusqu’à maintenant.

    Mais bon, je me suis plié à l’exercice, car d’une part ma collaboration avec Tom date de quelques années et qu’il s’est créé entre nous une connivence artistique et d’autre part je partage la paternité d’un des épisodes, puisque j’adore l’écriture à quatre mains et que le ton léger des Parques me permettez de solutionner une des énigmes restantes d’un autre ouvrage composé selon la même méthode : l’Œil & la Griffe.

    Comment Ethel Arkady a-t-elle franchi les espaces entre les espaces pour rentrer dans ses pénates, eh bien, vous le saurez en lisant cet opuscule au prix modique. Je me suis éclaté comme un petit fou sur cette histoire parce qu’entre les tacles que j’ai généreusement distribués à l’encontre de stéréotypes énervants, les jeux de mots laids en pagaille de Tom, et la mauvaise, mais alors vraiment très mauvaise humeur d’Arkady, autant vous dire qu’il s’y déroule plus de choses que dans n’importe quel série Netflix ! Garanti sur facture, et sans abonnement !

    Cliquez sur l'image pour vous procurer un exemplaire !

    Quatrième de Couverture : 

    Que de destins grandioses, d’épopées héroïques, de quêtes initiatiques, de sauvetages du monde ou de découvertes du Vrai sens de la vie ! Contre cette déferlante de succès, veillent les Parques, sous la direction d’une Fatalité farceuse, qu’on nomme parfois le marrant Sort. Si la petite bande de Nona, Decima et Morta avait suffi un temps à endiguer les réussites en cascades, les mondes ont changé. La Destinée a dû élargir son personnel, pour qu’un duo de sbires cisaille dans le feutré les ficelles de chaque histoire. En compagnie de Cétoine et Réduve, parcourez de nombreux univers pour poncer les poncifs, tronçonner les raccourcis et couper le réseau aux intrigues téléphonées. Héroïne badass de fantasy ou paladin galactique, aucun personnage principal n'est désormais à l'abri de la paire déjantée, avide de Plus-Values Fatalité qui hante désormais la fiction littéraire. Contre la facilité, la sensibilité et la moralité de bon aloi, les Parques attaquent !


    Des Négociations tendues entre Ethel Arkady & les Parques.


    jeudi 20 février 2025

    Publication : OMB n°3 !

    Allez Hop ! 

    Un nouvel et court article pour dire que j’ai commis une minuscule bafouille dans le fanzine d’un poto : OMB, qui en est à son troisième numéro. Le responsable de cet opuscule n’est autre que ExpExp qui a déjà œuvré autant dans l’univers de Yelgor que dans celui d’Ethel Arkady. Ce fut un plaisir de réaliser un extrait de mon manuscrit qui n’est pas encore achevé, le Manoir aux Mille Miroirs, est accompagné par une de mes dernières gravures en date.

    Pour le reste, vous pourrez admirer les comics à l’humour bien absurde d’ExpExp, quelques photographies et des critiques musicales auxquelles j’avoue ne pas avoir compris grand-chose, mais c’est la vie !

    Dans tous les cas, je suis satisfait de cette collaboration qui donnera peut-être lieu à une suite pour laquelle je sortirai ma vieille BD en court de la naphtaline où je l’ai conservé pendant plus de treize ans… Et peut-être, peut-être que je prendra le temps de la finir avant la fin du monde.

     

    dimanche 9 février 2025

    Affiche pour Jeu de Rôle (by MakuZoku)

    Depuis quelque temps, j’ai « professionnalisé » ma pratique du jeu de rôle, puisque je mène régulièrement des parties pour des néophytes autant que d’anciens briscards dans le cadre de mon boulot civil. J’en parle ici, d’ailleurs... Du coup, j’ai conçu une affiche, mais étant donné que je n’ai pas réussi à réaliser dans les temps la seconde – sachant qu'une image de ce type, à l’aquarelle, me demande plus six mois –, mais que je souhaitais avoir un nouveau visuel pour la troisième saison de cette animation qui rassemble maintenant trois tables de six joueurs, toute complète (j’ai commencé à une table et deux joueurs… ), je me suis adressé à MakuZoku, qui est devenu un habitué de mes univers...

    Il avait pour idées directrices d’une part de représenter graphiquement la richesse thématique du jeu, et d'autre part, d’offrir à notre service communication de la matière pour nos différents réseaux informatifs. Ces contraintes ont produit ce foisonnement de personnages, tous tirés de la déclinaison populaire « médiéval-fantastique » sauce Donjons & Dragons du jeu de rôle. Les mains au-dessus des personnages symbolisent, bien sûr, le gentil maître de jeu que je suis (n’est-ce pas ?). Comme d’habitude, je suis sous le charme du style de MakuZoku, lequel possède autant de panache que d’humour. Je vous partage donc la version intégrale ici !

    Amusez-vous d’ailleurs à repérer les nombreux monstres et clins d’œil disséminés dans l’image, je pense que vous en avez pour un bon moment ! Même les horreurs de Cthulhu et ses petits copains sont planqués dans un coin de la scène… 

    mercredi 1 janvier 2025

    Ephéméride 2024-2025

    Cela fait un moment que je n’ai plus réalisé d’éphéméride pour la nouvelle année, mais j’ai éprouvé le besoin de jeter un coup d’œil dans le passé de ce blog pour en tirer quelques conclusions avant de démarrer l’année 2025, laquelle, les personnes qui possèdent une once de jugeote n’en doutent pas une seconde, sera encore pire que 2024, car chaque année, c’est connu : tout augmente ! C’est une loi universelle, gravée dans le marbre de l’éternité (si tant est qu’une telle chose existe !).


    Cet article sera subjectif, grinçant, et foutraque ! Vous êtes prévenu.

    D’abord, je noterai en préambule que ce blog a plus de dix ans, et qu’il est resté mon espace de communication préféré avec le vaste monde, bien plus que les autres moyens apparus depuis, ce qui me classe, je l’imagine sans peine, dans la catégorie des « Boomers », quoique je n’appartienne en aucune manière à cette génération. Ni Fesse-de-Bouc et son abominable interface, ni ex-Twitter ce nids à trépanés du cerveau pour qui 140 caractères représentent le summum de la lecture philosophique et encore moins les suivant, comme ce cancer cérébral de TikTok, ne m’ont convaincu. J’use bien d’Instagram, mais j’avoue qu’il s’agit d’un pis-allée, d’autant plus que cette plate-forme se désertifie. Quant à ma page Deviant-Art, elle demeure en état de coma depuis un bon moment déjà, étant donné que je n’ai plus dessiné depuis… Trop longtemps pour mon propre bien-être mental.

    Depuis que j’ai abandonné critiques et autres analyses filmiques, la fréquentation du blog a drastiquement chuté, comme je m’y attendais. La critique offre un certain confort pour le lecteur qui se sent en connivence graveleuse avec celui qui émet une opinion sur un objet culturel plus ou moins connu. Cette forme de complaisance me plaisait de moins en moins et cet exercice me gâchait ce que je lisais ou ce que je voyais, puisque le processus d’assimilation de l’œuvre était destiné à nourrir les articles en retour. Cependant, l’écriture de ces articles ne s’est pas avérée inutile, au contraire, s’interroger sur nos goûts, sur ce qui les articulent et comment cela s’emboîte reste une démarche intéressante et riche d’enseignements quant elle est accomplie avec honnêteté, mais d’une part, je n’arrivais juste plus à suivre le rythme des sorties, d’autre part, je trouvai de plus en plus pénible de n’avoir pour visites que des personnes venues là pour le ricanement. Même sur d’autres sites, cette expression de sarcasme pédante, un peu vaine, m’est passée comme un rot acide en bouche. Malgré tout, il est à noter qu’à ce jour, mon article sur l’adaptation ratée de Gunnm de Robert Rodriguez attire toujours des lecteurs, mais peu d’entre eux explorent le monde autour de ce court texte, lequel ne mérite pas autant de reconnaissance tant je l'ai torché en vitesse entre deux portes.

    À travers ces lectures critiques, j’avoue que j’ai éprouvé un dégoût de plus en plus lancinant vis-à-vis de ce que l’on me proposait. Tant et tant de récits actuels ne possèdent plus l’étoffe de ce qui sortait dans les années 80-90. J’orbite peut-être autour d'une idée de vieux con – et pourquoi pas, j’assume, j'en ai l’âge – mais il me semble que la créativité de manière globale – avec toutes les exceptions qui sont à inclure là-dedans – a subi une nette baisse de qualité au mitan des années 2000. Pourtant, pour le « moi-d’autrefois » trouvait dans cette boue une sujet bien gras à exploiter, mais voilà, avec mes récits en préparation, et l’existence qui s’en est mêlée, je l’ai définitivement accompli le tour de la question.

    Enfin, il y a un second élément dans l’équation : entre mon déménagement et les innombrables problèmes liés non seulement à mon logement, mais aussi à mon travail, j’ai éprouvé plus d'une fois les limites du surmenage, ce qui m’a obligé à me recentrer sur mes textes et la publication de ceux-ci.

    Ce qui m’amène à l’essentiel :
    Entre la collaboration fructueuse avec MakuZoku, ExpExp et plus récemment de K-Zlovetch ou WingedAyalis, je suis très content de la palette de style présente sur ce blog.

    Tout cela est bien beau, mais une personne un tantinet curieuse me demanderait pourquoi est-ce que je m'obstine à m’associer avec des illustrateurs alors que j’écris ?

    Les trois quarts de mon activité artistique se réalisent à « porte close », c’est-à-dire que je ne montre pas de texte en cours d'avancement, car je les juge illisibles. Ce qui me prive de matière pour entretenir ce lieu qui est censé être une vitrine de mes travaux. Du coup, le recourt à des illustrateurs de talents m’a paru comme une solution judicieuses pour lever le voile sur une partie de ces univers sur lesquels je passe – mine de rien – une heure à une heure et demie par jour, tous les jours, depuis plus de quinze ans maintenant.

    En parlant de cela, je suis aussi content de la collaboration que j’ai débuté avec l’écrivain Tom Larret qui m’a permis de rédiger une courte nouvelle à quatre mains, processus dont je raffole puisque je l’ai déjà expérimenté avec Steve Martin sur l’Œil & la Griffe. J’espère renouveler ce genre de « bœufs » littéraire, tant cela procure un effet galvanisant sur la création.

    Au final, je suis assez satisfait de l’orientation de cet endroit, même si l’hémorragie de lecteurs se poursuit de manière inexorable. Je pense que cela ne s’arrêtera pas : la guerre de l’attention entre les différents médias est devenue féroce, et je ne posséderai jamais la machinerie capable de rivaliser avec des groupes et des personnes bien plus équipés dans le domaine que je ne le serais jamais.

    Maintenant, un petit résumé de ma production de 2023-2024 : 

    2023 a été une drôle d’année : j’ai sorti deux titres, mais l’un d’eux, les Céruléens, restera encore bloqué dans les limbes pour longtemps, je le crains. Le sujet en est tellement polémique que je ne l’exposerai pas sur la place publique. C’est pourtant dommage, car j’aimais bien la manière dont j’avais agencé le récit, et la dynamique entre Ethel Arkady et son alter ego « divine », la cruelle et colérique Sekhmet.

    Mais je me suis rattrapé avec Pornopolis : Akemi Himiko, un mini-comics qui narre la première rencontre entre Ethel Arkady et Akemi Himiko, une antagoniste que j’apprécie énormément, et qui reviendra, n’en doutez point, dans d’autres histoires, notamment Un Dîner en Ville.

    J’en ai parlé en long, en large, et en travers, mais ma meilleure sortie date de la fin d’année 2024 : Adélaïde : livre premier : les journal d’Herbert Engellmann couronne près de 10 ans de travaux sur un monstre littéraire dans lequel je me suis lancé à corps perdu. Quoique n’ayant pas Ethel Arkady comme protagoniste, il se déroule dans son univers, et l’explore un peu plus en profondeur, le tout sur fond de guerre civile. C’est une histoire ambitieuse, dont je suis assez fière, en particulier de l’avoir amené à un premier tome fini.

    En parlant de cela, je vais lister ici les différents textes sur lesquels j'avance, pour vous donner un aperçu de ma production pour l’année à venir :

    – Adélaïde : second livre : le Récit de Ned Flaherty.
    Après avoir collé aux basques d’Herbert Engellmann, ce récit s’accroche à celles de son détective privé, Ned Flaherty, lequel est nanti d’un bras gauche artificiel conçu par le même Engellmann, ce qui facilitera son enquête en eaux troubles, entre vampires, faëries et rumeurs d’assassinat présidentiel. Une histoire qui renvoie autant au Steampunk qu’au polar hard-boiled avec quelques femmes fatales comme la « Chasseresse Pourpre » avec laquelle Ned sera obligé de s’allier, contre son gré, bien entendu !

    – La Chauve-Souris d’Or :
    En 1921, on retrouve Ethel Arkady sur le paquebot de luxe SS Diamant, en compagne de l’archéologue Gertrude Bell, laquelle a exhumé un artefact remontant à une période préhumaine : une « chauve-souris d’or » qui attirera la convoitise du sorcier Aleister Crowley. Un récit qui plonge avec délice dans le « pulp » et dont j’ai enfin achevé le premier jet. J’aime bien cette histoire, quoiqu’elle présente un aspect assez foutraque, mais elle se clôt sur une de mes meilleures scènes d’action dans laquelle Arkady affronte une abomination lovecraftienne, le tout sur fond de tempête apocalyptique.

    – 100 Cercueils partie 1 :
    Celui-là, je pense que je le découperai en trois parties. En 1847, en Arizona, Ethel Arkady alors âgée de 12 ans, se retrouve prisonnière de l’orphelinarium de « la Veuve Noire » après avoir perdu ses parents pendant la bataille de Monterrey. Cette institution, gérée par les vampires, produit, au terme d’une sélection drastique, des sujets capables de devenir des « goules ». Apprentissage du combat, des poisons, mais aussi culturel, rien n’est épargné aux têtes blondes. On y suivra donc les déboires d’Arkady – qui n’a même pas encore gagné son nom – pour s’évader de cet enfer terrestre. Alors, ici, j’avais envie de me confronter à un style que j’avoue ne pas trop porter dans mon cœur : la « Young Littérature ».

    – Pornopolis 1 & 2 :
    Retour dans nos années 2000 et des brouettes, pour l’aventure la plus « cul » d’Ethel Arkady qui aura commis l’erreur de se confier au mauvais amant, ce qui l’enverra tout droit entre les bras d’Akemi Himiko, un de ses plus redoutables adversaires. Je peaufine ce récit depuis longtemps, au point que j’en ai déjà scribouillé plus de quatre versions sans être satisfait. Cette fois, c’est la bonne et j’espère sortir le premier tome, illustré, courant 2025 ! Le deuxième est en cours de rédaction, et il promet d’être aussi complexe en termes d’inflorescences descriptives.

    – Un Dîner en Ville :
    Alors… pressenti comme la nouvelle annuelle s’intercalant entre Pornopolis 2 & 3 pour creuser un peu plus la relation entre Ethel Arkady & Akemi Himiko auxquels je souhaitais offrir une aventure en duo, ce texte a grossi jusqu’à atteindre les dimensions d’un court roman dont j’ai achevé le premier jet. Néanmoins, je suis assez satisfait de celui-ci, même si la fin m’a surpris moi-même. Se situant dans le cadre de Pornopolis, cette histoire possède une évidente charge érotique !

    – Les Chroniques de Yelgor : chant deuxième : la Nuit du Fer-Vivant :
    Après le premier tome, je me suis vraiment lancé dans une saga de « fantasy » complète, avec une véritable odyssée pour nos personnages qui ont toujours les adorateurs de Sol aux fesses. Comme si cela ne suffisait pas, j’ai rallongé la sauce en narrant les aventures de jeunesse d’Allytah Nédérada, notamment le chapitre de sa vie où elle perd son bras droit, ce qui a un tantinet agrandi le récit à un tel point que je me demande si je ne séparerai pas ce roman en deux. À ma décharge, la carte de Yelgor m’offre pléthore de possibilités, et l’extension de l’histoire vers l’extérieure (le premier tome demeurait un quasi hui-clos) me permet d’explorer ce monde très particulier, et comme j’apprécie le fait de me surprendre, je le peuple de tout un tas de créatures exotiques plus ou moins fréquentables.

    J’en resterai là pour ces éphémérides !

    En vous souhaitant chance et bonne santé pour l’avenir.