Une nouvelle publication Yelgorienne :
Après plus de six mois, la bande-annonce pour le premier roman et l’amorce du second est enfin terminée. La vie moderne étant constituée d’impondérable, il s’est parfois écoulé de longs laps de temps entre la réalisation de chaque plan, mais cette maturation à bénéficié au rendu final, même si la compression du Tube ne lui rend pas hommage. La vidéo possède une meilleure qualité sur la page Fesse-de-Bouc des Chroniques…
Les différents illustrateurs ont conférés une patine inédite à ce monde qui demeure distinct de la saga Arkady. Que ce soit MakuZoku, Didizuka ou Duarb Du, je les remercie pour leur contribution à ce récit tentaculaire.
Le choix de la musique, étape cruciale pour la réalisation d’un court-métrage, fût-il aussi modeste que celui-ci, n’a pas été sans douleur. Un temps, je me suis perdu dans le labyrinthe des compositions libres de droits. Entre les sous Hans Zimmer et autre aberrations auditives, je pensais cette traque vaine, jusqu’à ce que les arpèges cosmiques du groupe Etrange envahissent mes esgourdes.
Le choix de la musique, étape cruciale pour la réalisation d’un court-métrage, fût-il aussi modeste que celui-ci, n’a pas été sans douleur. Un temps, je me suis perdu dans le labyrinthe des compositions libres de droits. Entre les sous Hans Zimmer et autre aberrations auditives, je pensais cette traque vaine, jusqu’à ce que les arpèges cosmiques du groupe Etrange envahissent mes esgourdes.
Pratiquant un métal instrumental, c’est-à-dire sans chansons, celui-ci s’est avéré idéal pour mes sessions d’écriture matinale, leurs sarabandes parfois endiablées, parfois mystérieuses conférant un tempo à mes mots. Elles accompagneront sûrement les aventures d’Allytah tout au long de la rédaction du second tome. Aussi, après avoir acquis le second album, dont les différentes pistes réussissent à supplanter celles du premier en termes de complexité sonore, je leur ai demandé si je pouvais utiliser une section de leur musique et ils ont eu l’extrême amabilité d’accepter, mettant un terme à une harassante et agaçante quête.
J’avais songé au morceau Titan du premier album, tout en impressionnante rythmes martiaux accompagné par des bruits de pistons, mais celui-ci se déploie sur la longueur en un air toujours changeante. Astralis, avec son ouverture pleine de puissants rifts énergiques supportés par une batterie prise de spasmes, fonctionnait mieux pour le montage, d’autant plus que la mélodie connaît des silences abrupts, des virages sonores acrobatiques qui voisinent d’autres ponctuations dans lesquelles prélever un échantillon s'avérait plus commode.
J’avais songé au morceau Titan du premier album, tout en impressionnante rythmes martiaux accompagné par des bruits de pistons, mais celui-ci se déploie sur la longueur en un air toujours changeante. Astralis, avec son ouverture pleine de puissants rifts énergiques supportés par une batterie prise de spasmes, fonctionnait mieux pour le montage, d’autant plus que la mélodie connaît des silences abrupts, des virages sonores acrobatiques qui voisinent d’autres ponctuations dans lesquelles prélever un échantillon s'avérait plus commode.
Je remercie Etrange pour leurs amabilités. J’espère que le résultat final rend justice à leurs compositions. Je vous recommande chaudement la fréquentation de ce groupe dont les deux albums proposent une périple cosmique dans un univers à mille lieues du nôtre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire