samedi 2 janvier 2021

    Mon premier roman : La Femme Écarlate

    Tout d’abord une bonne année à tous & à toutes, en espérant que les relents morbides et autoritaires de 2020 s’éloignent de notre réalité. Ce que je ne crois pas possible pendant quelque temps, mais soyons un peu optimistes : personne n’est encore capable de deviner l’avenir ! Même, et surtout, les barbiers de plateau de télévision. Mais pour aborder des sujets plus enthousiasmants, et en attendant de nouveaux articles, je porte à vos mirettes esbaudies le résultat d’une année acharnée de travail, mon premier roman. 

    Cliquez sur la couverture pour acheter le roman !

    Pitch :
    Alan Svartur, comptable quarantenaire pour une puissante multinationale, se perd avec sa famille dans les profondeurs du désert texan à cause d’une déviation routière. Obligés de s’arrêter dans un village en décrépitude, ils devront composer avec des autochtones envahissants qui souhaitent les convier à leurs « fêtes de la Crécelle » pour célébrer une mystérieuse « Femme Écarlate »…

    Après plusieurs relectures, des retouches à droite et à gauche, et après avoir passé l’épreuve de l’appréciation de quelques personnes choisies, n’ayant pas d’appétence particulière pour le genre, je suis fière de le mettre en ligne.

    Cette fameuse Femme Écarlate, dont la couverture signée par le talentueux EXP. avait déjà fait l’objet d’un article dans ces pages.

    À l’origine je l’avais rédigé pour essayer de m’insérer dans une collection de roman trash, qui a fermé ses portes pendant le processus créatif, c’est ballot. Je l’ai tout de même achevé, tant cette expérience me plaisait. J’adore me rouler dans la fange d’un bon gore craspec !

    L’histoire empreinte aux Rednecks Movies, avec un détour sur les terres de Lovecraft, sans qu’il y soit cependant mention de la moindre divinité tentaculaire. Respectueux des canons esthétiques du genre, je n’évite ni les ambiances glauques et poisseuses, ni la violence gratuite, ni la sexualité déviante. Pire : je les assume pleinement !

    Ce roman n’est absolument pas pour toutes les sensibilités, en conséquence assurez-vous au préalable d'avoir un estomac d'airain pour goûter la chose !

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