dimanche 28 mars 2021

    Les Chroniques de Yelgor : Chant premier : La nuit de l'auberge sanglante

    Enfin ! Après une longue gestation, le premier tome des Chroniques de Yelgor est disponible sur TheBookEdition ! Pourquoi l’avoir mis à la vente en papier alors qu’il est lisible gratuitement sur le blog ?

    Tout simplement parce que je souhaitais étendre l’histoire au-delà du défi initial et que pour cela il me fallait plus de place. C’est pour cela que j’ai réécrit des chapitres entiers, que j’en ai ajouté d’autres et qu’enfin une nouvelle qui devait être éditée – mais dont je n’ai plus eu le moindre écho de la part des organisateurs de l’appel à textes – a été incluse dans le sommaire. Elle se déroule dans le même univers et reprend une partie des personnages, mais quelques années en amont.

    D’autre part, outre que les illustrations de Didizuka et de Duarb Du en ressortent grandies, je pense que la lecture au format papier demeure toujours plus confortable que celle sur écran.

    Les Chroniques... c'est un récit de fantasy (plutôt « Dark ») peuplés de personnages jusqu’au-boutiste pris dans les tourments d’une période troublée. Escarmouches, exils, romance et quête d’absolu sont au programme.

    (cliquez sur l'image pour aller sur le site de l'éditeur)


    Pitch : Le Royaume de Yelgor souffre encore des nombreuses conséquences de la Guerre des Hautes-Marches. Des sectes agressives envahissent la capitale et « l’élu de la prophétie » devenu roi est obligé d’envoyer son Dauphin sous la protection du membre le plus ambivalent de leur ancienne compagnie : la Noctule Allytah Nédérada… qui refuse la mission…

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    Et voici un extrait d'une chronique enthousiaste d'un lecteur, dont je m'empresse de vous recommander le blog, :  

    « Ce premier tome m’évoque irrémédiablement l’étoile du matin, celle qui brille comme celle qui fait mal, une solide poignée de fantasy emmanchée dans un pommeau de steampunk, hérissé d’un vocabulaire pointu et d’un style étincelant et carnassier. Ça pique et on en redemande. »
    Tom Larret.

    dimanche 7 mars 2021

    Dessin du dimanche : Un manteau d'écarlate sur une neige immaculée

    J’achève enfin une couverture pour une nouvelle à venir que je publierai sur la toile et qui suit les pérégrinations d'Ethel Arkady durant l'hiver 1875, dans le Colorado. 

    Après bien des aventures, elle se ressource dans le village de Skinfolk Town afin de se refaire une santé et un manteau. Toujours collés à ses basques, une bande de chasseurs de prime débarqueront dans le saloon du coin pour asticoter la féline... Ce qui n'est jamais bon pour la santé !

    Cela faisait un moment que je n’avais plus repris les crayons pour des raisons d’emplois du temps chargé, mais je suis assez satisfait du résultat final qui montre que je n’ai pas (trop) perdu la main... Ça me turlupinait depuis un moment de ne plus avoir fait d'image d'Ethel Arkady dans ses œuvres guerrières, alors qu'à la base c'est sa spécialité.

    (Cette Arkady, par rapport à l'illustration réalisée par MakuZoku, n'a pas encore récupéré ses yeux. Pornopolis se déroule à notre époque – à un ou deux poils de cul près – tandis que la nouvelle revient sur son passé, quand elle traquait encore son maître-vampire pour lui faire rendre gorge.)

    J'en réaliserai encore une ou deux à l'avenir.


     
    Crayonné de base.

    dimanche 14 février 2021

    Les Aventures d'Ethel Arkady : Pornopolis : Ethel Arkady & La Reine Rouge (by MakuZoku)

    Cela fait un moment que je tourne autour de l’idée d'illustrer mon roman de Porno-Fantasy, comme ce fut le cas pour le premier opus des Chroniques de Yelgor, et voilà que cette entreprise débute sur une rencontre aussi impromptue qu’agréable avec le talentueux dessinateur MakuZoku.

    Je lui ai donc confié le chapitre deux qui ne contient que des scènes coquines plutôt légères, ce qui lui a permis d’apprivoiser cet univers. Et j’avoue que j’aime beaucoup sa version d’Ethel Arkady qui perd son air revêche – en même temps, elle est à moitié sous le contrôle des Satyres, des bestioles qui accroissent sa libido déjà envahissante en temps normal, ce qui altère son humeur ombrageuse – tout en conservant ses attributs de vieille guerrière saillants : cicatrices à revendre, musculature apparente et griffes menaçantes. Un effet esthétique par contraste comme je les apprécie tant dans le travail de l’érotisme.

    J’espère que MakuZoku reviendra faire quelques virées dans l’univers d’Ethel Arkady. Quant à moi, je vous encourage vivement à aller jeter un œil – voire deux – sur ses travaux et ses différents projets, en particulier celui de la BD Sangria qui m’a impressionné.

    Pour la version non-censurée, cliquez sur l'image !